Sang-kio-ki

Sang-kio-ki et « Ni-fo-si-na » étaient les costumes du peuple śramańa en Inde. Au VIIe siècle, le voyageur chinois Xuanzang a décrit les vêtements de Sramana comme trois types de robes différents, de style différent et coupés en fonction de l'école à laquelle ils appartenaient. Certaines robes ont des rabats petits ou grands, tandis que d'autres ont des bordures étroites ou larges. Le Sang-kio-ki couvre l'épaule gauche tout en dissimulant les deux aisselles. Sur la droite, il est porté fermé, tandis que sur le côté gauche, il est ouvert. Il a une longueur plus longue jusqu'à la taille. Le Ni-fo-si-na était une nappe tressée en plis et attachée autour des longes à l'aide d'un cordon. Il n'a pas de pompons ni de plaques chauffantes. Les différentes écoles utilisaient différentes couleurs de vêtements, comme le rouge et le jaune.

Vêtements religieux bouddhistes, amulettes et talismans

Dans le bouddhisme, le port de vêtements religieux n'est pas obligatoire, mais de nombreux bouddhistes optent pour des habits spéciaux en signe de respect envers le Bouddha et ses enseignements. Il est important de se souvenir que l'objectif des vêtements religieux n'est pas de se mettre en avant ou de susciter l'attention, mais plutôt d'exprimer le respect et la déférence envers le Bouddha et ses enseignements. Bouddha a enseigné que le chemin de l'illumination se trouve .